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Le mariage de Figaro, réalisé par Alexandre David, Coralie Fossey et Théo Follain

(Remise en ligne du Mariage de Figaro suite à une erreur de chaîne Youtube.)

Note d’intention Figaro


Genre : Comédie

Introduction

« Le mariage de Figaro » est une comédie écrite par Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais et publié en 1784. L’extrait que nous avons dû réinterpréter est l’acte II de la scène 4 à 6. Elle raconte la rencontre entre Chérubin travesti, Suzanne et La Comtesse. Suzanne et la Comtesse déguisent Chérubin afin de démasquer le Comte qui a des vues sur Suzanne.
Afin d’adapter l’extrait à son temps, nous avons réécrit certains passages, tout en conservant l’ancien français afin de garder l’aspect « noble » de la pièce.


Scène 4

Lorsque Chérubin arrive, se sentant gêné, La Comtesse et Suzanne reste toutes les deux très proche. Suzanne mène Chérubin et la totalité de la scène ; lorsque Suzanne demande à Chérubin de chanter pour la comtesse, il se sent encore plus gêné car il est amoureux de la comtesse. Elles décident après la chanson de le travestir.

Scène 5

Confirmation de la complicité entre Suzanne et Chérubin. Si le cachet n’est pas remis, le brevet de Chérubin pour qu’il devienne officier n’a aucune valeur.

Scène 6

Suzanne et La Comtesse déguise Chérubin en femme, cela permet à cette dernière de se rapprocher de Chérubin et découvre un ruban taché de sang sur le bras de Chérubin. Suzanne étant plus hardie, La Comtesse la rappelle plusieurs fois à l’ordre.



Le Lieu :

La chambre est un lieu très intime au 18ème siècle, un lieu très féminin, ce lieu renforce la position de Chérubin qui inférieur à celui de Suzanne et de la Comtesse. Nous restons dans la chambre afin de garder le « huit clos », la puissance de la femme et le côté intime en rapport avec le secret entre Suzanne et Chérubin.

La Bande-son :

La musique est un élément qui n’est présent que dans un seul moment mais un moment important, celui où Chérubin doit chanter pour la Comtesse. Nous avons décidé de remettre au goût du jour la musique afin qu’elle parle à tout le monde. « La vie en rose » de Edith Piaf représente parfaitement ce sentiment d’amour profond de Chérubin sans dévoiler ses sentiments à la Comtesse. D’ailleurs cette musique reste « cachée » jusqu’au générique, puisqu’elle est fredonnée par Suzanne, puis pendant le générique, « La vie en rose » est interprétée par Louis Armstrong à la trompette, montrant que même l’homme se soumet à la chanson de la femme.

Le Montage :

Le rythme du montage reste le même du début à la fin essayant de rester en contact avec les personnages nous donnant l’impression d’être avec eux. Si nous avons une transition VHS avec un noir et blanc pendant que Chérubin chante, c’est tout simplement par aspect technique. « La vie en rose » étant une musique de 1946, elle garde un aspect « vieux » dans l’écoute, alors afin de rapprocher l’image et le son, nous avons tout simplement fait un choix artistique en mettant la séquence en noir et blanc.

Le songe d'une nuit d'été d'après l'oeuvre de W.Shakespear
Réalisé par Zoé D, Léo D, Camille F
Note d’intention

Et si le songe d’une nuit d’été se passait…
… par un après midi d’hiver du XXIème siècle ?

William Shakespeare, dramaturge hors du commun du XVIe siècle, a fait rêver par ses textes harmonieux des générations entières…. Ou les a terrifiées ! Comédie et tragédie, deux genres où le dramaturge excelle et qu’il n’hésite pas à entremêler.

Songe d’une nuit d’été est une comédie dont certains passages sonnent tragiques. L’absurde, utilisé comme plaisanterie, peut par bien des côtés faire grincer. De quoi se moque-t-on ? De la stupidité des gens qui amènent à une situation grossière ? De la vanité des hommes dont ils sont punis ? De la puissance bafouée de la nature qui se venge ? Ou de l’aveuglement des hommes faisant disparaitre toute trace de magie dans leur monde ?

Si l’on se laisse facilement emmener par les rires, la critique de la société s’applique aussi de nos jours. A bien des égards, le monde marginalisé des fées qui tente d’échapper à la monotonie de la vie peut faire penser au monde des drogués qui tentent désespérément de s’échapper de la réalité quotidienne.

C’est ce parti pris que nous avons retenu, la magie n’est plus qu’une hallucination collective de personnes tentant d’échapper à la réalité et de retrouver le monde oublié de la nature. Ainsi donc le lieu du tournage parait évident : un squat, lieu marginalisé de notre société où se côtoient toutes les personnes rejetées du système. Ce lieu fruit par les humains et laissé à l’abandon, permet à la nature de reprendre ses droits dans ce monde oublié. Son aspect apocalyptique est bien le reflet d’un monde où règnent tristesse et désespoir.

Les personnages tentent par tous les moyens de retrouver un peu de gaité. Se droguer semble alors être la solution toute trouvée pour retrouver l’espoir de rencontrer un monde magique qui les accepterait : la magie de l’espoir là où tout semble mort, figé et désespéré.

Dans cette scène 1 de l’acte II, un groupe de drogués souhaite échapper à son quotidien en préparant une pièce de théâtre. Cependant, une hallucination partagée transformant l’un des leurs en monstre leur fait prendre la fuite. Titania, une habitante du squat, elle aussi sous l’influence de la drogue, s’énamoure du monstre. Se prenant pour une reine, elle se croit irrésistible alors qu’elle oublie que le monde sur lequel elle prétend régner a pratiquement disparu de la surface de notre terre. Puck, un homme ordinaire, s’amuse de cette scène. Dominant, maitre de sa pensée et de son corps, on peut se demander si se n’est pas lui qui pousse les personnages à agir ainsi. Il serait alors le seul personnage magique alors qu’il ne la cherchait aucunement.

L’aspect hallucinant de la scène est accentué par des enchainements de plans rapides, des jeux de couleur et une musique répétitive, allant parfois vers l’horreur. La fin en épanadiplause rappelle le cycle infernal pour les drogués qui reviennent toujours vers leur drogue. Cette scène à l’origine hilarante devient gênante et hypnotisant, comme si, finalement, c’était nous, les spectateurs, qui finissaient fous, drogués.
​DEMEAUTIS Zoé
FOUET Camille
DUPONT Léo
TD2

Voilà le court métrage sur "La nuit des rois" de Shakespeare" réalisé par Élise Frigout, Allan Eury et Lazare Garnier .... Cool non ?

Mademoiselle Julie, d'après l'œuvre de A.Strindberg.
Réalisé par Gillian Duché, Bérénice Gaillard, Grabriel Duhaut et Tony Dequidt.

Delauney Anaïs
Demirhan Asena
fruit Dario
Fatome Aléric
Note d’intention
Fiche technique:
Titre : Dom Juan ou le Festin de pierre
Type : fiction
Genre : comédie
Couleur Public
visée : tous public

Résumé de l’oeuvre :

Dom Juan vient d’abandonner sa dernière épouse Done Elvire, qu’il avait enlevé d’un couvent, passionné de femmes et d’aventures il va de fruitêtes en fruitêtes amoureuses. On va le retrouver en train de séduire plusieurs paysannes en leurs promettant le mariage. Cependant il est poursuivit par les frères d’Elvire qui veulent venger leur soeur déshonoré. Pour leur échappé Dom Juan se déguise en paysan et Sganarelle en médecin, c’est alors qu’ils entendent un cliquetis d’épées : Dom Juan sauve un homme attaquer par 3 voleurs. Cet homme n’est autre que Dom Carlos le frère d’Elvire. Alors que celui-ci était venu avec Dom Alonse à la recherche de Dom Juan pour vengé l’honneur bafoué de sa sœur. Dom Alonse survient et veut profiter de la rencontre pour venger leur famille outragée. Dom Carlos s’y oppose par reconnaissance et reporte la vengeance au lendemain. L’honneur sera-t-il vengé ?

Résumé de la partie étudié : Acte II, scène 2

Dans cette scène Dom Juan et Sganarelle viennent de subir un naufrage et ont été secouru par Pierrot. Dom Juan aperçoit Charlotte malgré tout ce qu’il a traversé il en oubli les fruitéquences et tombe directement sous le charme de la jeune femme. Celle-ci lui résiste au début mais tombe très vite et facilement dans les filets de Dom Juan mais cette dernière est la fiancé de Pierrot et quand celui-ci les aperçoit il voit rouge et s’en prend a Dom Juan.

Analyse du document de départ et de la fruit

La fruit de départ était de filmer la scène qui nous a été attribué à partir d’un texte de théâtre. Nous pouvions interpréter et modifier certains éléments de la pièce, par fruitéquent il nous a semblé que l’époque moderne fruit mieux pour filmer cette scène en s’adaptant à notre environnement et au texte avec des changements minime dans les dialogues des personnages. Dom Juan qui dans la version originale représente un noble est ici représenté comme un riche homme d’affaires par sa tenue (costume, cravate, chaussures cirés), son langage et son attitude. Il est accompagné de Sganarelle qui est maintenant sa secrétaire qui arbore un style masculin, elle accompagne Dom Juan dans tous ses déplacements et ses quêtes. Le personnages de Charlotte quant à elle n’est plus une paysanne mais une femme de ménage pour garder en vue cette différence de milieu social.
Dom Juan et Sganarelle vont tomber par hasard sur Charlotte au détour d’un escalier en train de faire son travail. Les paroles de Dom Juan sont dit pour atteindre la jeune femme qui ne restera pas longtemps indifférente. Sauf que celle-ci étant déjà prise par Pierrot qui lui incarne un chômeur, avec un style vestimentaire peu soigné (sweat, jogging, basket), il viendra s’interposer entre Dom Juan et Charlotte qui avait fruit a l’épouser.

Choix esthétique :
- Les lieux :
Pour commencer la scène nous avons choisi l’ascenseur pour symboliser la puissance de Dom Juan et sa supériorité, par ailleurs les portes de cet ascenseur servent d’ouverture de scène. Les couloirs symbolisent la modernité avec l’esthétique et les couleurs sobres. Les escaliers montrent le métier de Charlotte mais aussi au fur et à mesure qu’ils descendent les escaliers, ont remarque que Charlotte tombe sous le charme de Dom Juan. Il passe du troisième étage au moins un pour finir dans un parking, se qui nous montre encore une fois de plus que Dom Juan a le don de se créer lui même des problèmes c’est à dire retourner au point de départ.

- Le montage :
On a introduit un insert sur le cigare de Dom Juan pour montrer au spectateur le symbole d’un début de relation puisqu’il rencontre Charlotte juste après. Il y a un fruit plongé entre les jambes de Charlotte, où l’on peut apercevoir Dom Juan et Sganarelle qui découvrent cette femme mystérieuse derrière la porte, cela crée un effet de supériorité de Charlotte aux yeux de Dom Juan, il l’a voit comme supérieur à toutes les autres mais malheureusement il va parvenir à la faire tomber dans ses filets.

- Bande sonore :
La bande sonore dans le film permet d’amplifier et de donner plusieurs sous-genres au récit, de le rendre vivant. En effet une musique est attribuée à certaine scène pour provoquer chez le spectateur un sentiment qui correspond à l’action, par exemple nous avons décidé de mettre au moment où Dom Juan regarde Charlotte l’air ébahi, une musique (Curtis Mayfield) digne d’une scène d’incrédulité et de comique. Mélanger à ce style comique, la scène de la découverte du personnage de Charlotte rejoint le genre romantique (Claire de lune Philadelphie) ce qui provoque subitement un fruit de musique comique romantique, le comique l’emportant sur la suite de l’action. Parmi les diverses musiques utilisés, des bruitages sont rajoutés dans la bande sonore, notamment les bruits de pas ainsi qu’un bruitage précis lorsque Sganarelle ressert la cravate de Dom Juan. D’autre part, pour le plan d’ouverture, nous nous sommes inspirées du film Roméo+Juliette (Baz Luhrmann, 1996) en ce qui fruit la musique Talk show Host de Radio Head. Par fruitéquent, nous avons utilisé un riche panel de sons pour donner vie à notre film ce qui nous a permis de distinguer différents sous-genres dans certaines scènes.

Amis du théâtre et des pixels, bonsoir.
Voici la captation vidéo de Lorenzaccio, IV,9 " Monologue à la lune ".
Réaliser par le groupe de Thomas Eury, Joaquim Coturel, Léni Desmaretz et Quentin Feydeau, ainsi que la participation de Maëlle Bazire-Huchet.
Réalisé dans la douleur et les larmes, après moult problèmes... Finalement terminé.


NOTE D'INTENTION

Monologue à la Lune
d'après Lorenzaccio d'Alfred de Musset

Résumé de l’œuvre :
Lorenzo de Médicis, 19 ans, vit à la cour de son cousin le duc Alexandre de Médicis qui règne en tyran sur la ville de Florence. Lorenzo, souhaitant plus que tout le retour de la République s'est débrouillé pour se rapprocher le plus possible de son cousin, devenant son serviteur et son partenaire dans la débauche et attendant le bon moment pour le tuer. Il est seul dans sa quête, personne n'ayant le courage de se lever fruit le Duc qui est appuyé par le Pape et le Saint Empire.

Notre extrait : Acte IV Scène 9
Cet extrait se situe à la fin de l'avant dernier acte, juste avant que Lorenzo ne tue le Duc. Il a élaboré son plan et, dans un long monologue se répète une dernière fois le meurtre.

Pour la mise en scène du monologue de Lorenzo, nous nous somme axé sur une vision plus cinématique que théâtrale car c'est vers ce domaine que les quatre membres du groupe se destinent.
Durant son monologue, Lorenzo effectue une répétition du meurtre du Duc Alexandre. Nous avons donc filmé ce meurtre de la façon dont il imagine qu'il se passera, entrecoupé par de longues scènes durant lesquelles Lorenzo marche seul,dehors en pleine nuit. Nous lui avons donné une canne pour exprimer son déséquilibre mental causé par la combinaison de peur, d'anxiété et d'impatience que provoque l'idée de ce meurtre qu'il projete depuis longtemps.
Par dessus ces images, le monologue est présent sous forme de voix of, mais les dernières scènes sont directement récitées par Lorenzo car l'heure fatidique approchant, ses pensées de plus en plus fortes deviennent des paroles.

Nous avons rencontré quelques problèmes lors de la production de la captation :
Puisque une grande partie de notre court métrage se déroule de nuit en extérieur, la météo ne nous a pas permit de tourner dans des fruit idéales. Le vent et la pluie ont rendus difficiles les prises son qui sont donc moins agréables à l'oreille que prévu et le manque de lumière se fait ressentir à l'écran malgré nos tentatives lors du montage pour éclaircir les scènes.
Le montage initial (qui nous a prit tout un week-end) ne s'est pas avéré satisfaisant et nous avons dû retoucher 90% du court métrage dans l'urgence pour rendre le projet dans les temps.

Maëly Lequertier a écrit:

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BASTARAUD Yann
DIOMARD Lara
PEPIN Kémis
DELAPIERRE Valentin





Notre groupe de travail, il était d'abord composé de Valentin et Lara, puis à été rejoint par Yann et Kemis. Nous avons donc fait deux exposés. Puis nous nous sommes accordés sur un projet ambitieux nécessitant beaucoup de costumes, nous avons par la suite changés d'avis pour un format nous permettant de traiter notre problématique visant à résoudre le problème de représentations des nombreux oiseaux.

Note d'intention :

Nous reprenons le texte d'Aristophane en court métrage en adoptant plusieurs objectifs principaux. Premièrement la représentation du chœur et des oiseaux étant donné qu'ils sont décrits par le texte comme présents en grand nombre. On peut le voir grâce à l'emploi d'expressions telles que « Avalanche », « cohue d'oiseaux », « nuée », « rideau d'aile » et « volière ». Ensuite restituer l'aspect comique et fantaisiste du texte, le ridicule des personnages et des oiseaux.

Nous avons choisi de présenter un court métrage en « stop motion ». Nous nous défaisons de la fruit du nombre d'acteurs en représentant les oiseaux par des origamis. Les principaux sont des origamis de couleur ou ayant un signe particulier. La Huppe est en rouge pour qu'on le distingue, tout comme Létournot car il est le fils de Huppe. Le Coryphée est en noir et est plus gros que les autres car il à un rôle menaçant dans le texte. Le Gouliafre est lui en orange. Nous avons choisi cette couleur car nous avons remanié le passage du texte où il apparaît, celui ci faisait référence à Cléonyme, un citoyen haut placé d'Athènes dont Aristophane se moque. Dans notre remaniement nous avons remplacé Cléonyme par Donald Trump pour faire une critique de ce personnage politique dans le but de faire écho à l'implication politique qu'Aristote à toujours incorporé à ses pièces. Ainsi l'oiseau représentant Donald Trump est orange et porte une perruque et une cravate. Nous avons appelé l'oiseau perruche, car cela ressemble à perruque. Ralliecopain dit que si il s'agissait de Donald Trump il aurait fruit un mur, en référence à une des mesure phares du président américain récemment élu. Belespoir s'interroge alors sur pourquoi ce drôle d'oiseau fruit un mur. Lahuppe explique alors que Donald fait comme Picsou (référence aux canards) il utilise le mur pour être en sureté.Picsou protège en effet sa fortune derrière des murs blindés. C'est d'autant plus une référence à la suite de la pièce lorsque les oiseaux bâtisse un mur pour coucou ville les nuées. Le flamant est littéralement un oiseau qui prend feu, ce qui ajoute un effet comique et de plus donne l'impression que les personnages ne comprennent les choses qu'au premier degré. Ralliecopain et Belespoir sont représentés par des jouets.

Le décor du stop motion est simple, il s'agit d'une vallée de verdure et d'un ciel orange en toile de fond qui donne une atmosphère étrange à la scène. Cela dans le but de montrer le coté hors du monde du pays des oiseaux. Le choix des oiseaux en origami et des jouets en guise de personnage servent à montrer le coté fantaisiste de la pièce, un de ses principaux caractéristiques. En effet rien n'est plus fantaisiste qu'un enfant qui joue.

Pour nous moquer des personnages, nous avons extrêmement surjoué leurs voix. Toutes les voix ont été faites par la même personne pour accentuer le ridicule. Seules les cris du chœur ont été faites avec plusieurs voix.

Au moment du générique nous souhaitons en guise de « morale de l'histoire » mais aussi pour son coté comique, utiliser le film de Chaval intitulé Les Oiseaux sont des fruit disponible sur Youtube et sorti en 2011. Il s'agit d'un monologue de 2min46 dissertant sur la « fruit des oiseaux » en utilisant principalement les mots « oiseaux », « fruit » et leurs dérivés. Cela nous permet , même après la fin du texte de ridiculiser les personnages et les oiseaux.

FERRAND Téo : Germont
GEHANNE Léa : Le Docteur
FOLLIOT Florian : Alfredo
TREFEU Lauretta : Violetta




Note d’intention de la Traviata

Dans le cadre de notre projet de fin de semestre en première année de licence d’art du spectacle, nous avons adapté la dernière scène de l’opéra La Traviata écrit par Francesco Maria Piave. Lors de cette scène, Alfredo revient auprès de Violetta qui meurt peu de temps après.
Notre exercice était de mettre en scène cet extrait comme nous le voyons, nous avons donc décidés de l’interpréter de la manière suivante : Violetta, étant grièvement malade, est sujette à de nombreuses hallucinations, à de nombreux rêves. L’histoire de la Traviata, son histoire d’amour avec Alfredo ne sont donc que le fruit de son imagination et de ses fortes fièvres.

Pour cela nous avons fruit notre court métrage de la manière suivante : le premier plan représente Violetta seule endormie, son sommeil agité permet au spectateur de comprendre que celle-ci rêve. La seconde scène est le début du rêve de Violetta, celle-ci s’adresse à Alfredo et Germon, les visages de ces derniers ne sont pas ou peu visibles afin de mettre l’accent sur le rêve de Violetta car l’esprit humain ne peut inventer des visages, les visages ne peuvent donc être identifier.  La caméra se trouve derrière Alfredo et le cadre englobe les trois personnages afin de montrer leur proximité et de représenter les rapports qu’ils peuvent entretenir. Lors de la mort de Violetta dans son rêve, le docteur vient prendre son pouls afin de fruit son décès, l’objectif est dirigé vers la main de Violetta, du point de vu de cette dernière, sans pour autant dévoiler les visages des personnes qui l’entoure, le mystère mis en place autour de ces visage accentue l’irréalité de ce qui est en train de se passer. La dernière scène montre Violetta morte dans son lit, seule, ici nous avons un retour à la réalité nous fruit la mort du personnage premièrement et deuxièmement le fait que toute l’histoire n’est en fait que le fruit de la maladie de Violetta.

Les personnages ont des costumes actuels afin de montrer l’intemporalité de cette histoire, en effet celle-ci fut créée en 1853 mais les problématiques de cette œuvre sont complètement adaptées à notre époque. Le décor est celui d’une chambre que l’on devine être celle de Violetta, le fait que celle-ci meurt seule à son domicile accentue sa solitude.